week-end roul'coul: 3ème jour

Cette fois-ci départ en voitures de Vimbach, avec départ réel à Oberkirch, 35 km plus au sud. 95 km, 1500 m de dénivelée.

Entrée de l'hôtel:

préparatifs de départ:

Ces volatiles parqués dans un enclos à côté de l'hôtel ne seront pas du voyage. On peut réellement parler des "dindons de la farce" !

en passant par Lautenbach, notre gourou Mobsy en tête:

entre Lautenbach et Ramsbach:

à la sortie d'Oppenau:

pause avant Bad Peterstal:

Jojo (suivi par son directeur sportif ?):

Michel Suter en tête:

Question: dans la floraison de lumière baignant ce sous-bois, arrivez-vous à distinguer nos cyclos ?

sous le "Grosser Hundskopf" (non, ce n'est pas une injure !), la "Freiersbergerhütte", col à 747 m:

Charlie arrivant au col:

au bas de la descente, Vor Wildschapbach:

- la suite dans quelques instants -

- et la suite suit -

à Schapbach, superbe église baroque:

toujours à Schapbach, notre ami Jean-Claude Krempper:

à Bad Rippoldsau, Sylvia et Béatrice:

à Kniebis (865 m) bientôt arrivés au point culminant de la sortie:

enfin, au (presque) sommet la pause-repas tant attendue, altitude 1020 m !

Sylvia et Jean-Marie Kiedaisch (couramment appelé JMK2):

au premier plan, Sylvia et J-Claude Krempper, qui cherche à se protéger comme il peut des rayons du soleil

Pascal "Momotte", et Charlie au ravitaillement:

Séverin Arnold dort du sommeil du juste (?):

On repart sur la "Schwarzwaldhochstrasse" direction "Ruhestein":

pause au carrefour près d'Allerheiligen:

Ottenhöffen:

près de Ringelbach, le "Gaillard d'avant", ou plutôt (vu) d'arrière (je sais, elle est facile, mais je n'ai pas pu résister):

sur le parking à Oberkirch, on remballe nos marchandises (là en l'occurence Gérard Gangloff), avant le retour sur Kingersheim:

Ces trois jours auront été un succès complet. En dépit de la (réelle) difficulté des parcours, le groupe de 21/22 roulants est resté soudé. Aucun accident, ni crevaison n'a été à signaler. Tout le monde s'attendait régulièrement. Le beau temps (hormis des menaces de pluie le 1er jour, qui ne se sont pas concrétisées), a été de la partie. Et nous pouvons tous remercier Jean-Marie pour son organisation sans faille. Les conditions d'hébergement étaient plus que correctes, et la restauration à l'avenant.

En ce qui me concerne, m'aurait-il prévenu dans le détail des dénivelées prévues, que j'aurais peut-être déclaré forfait. Mais tout s'est bien passé physiquement et moralement. Le rythme raisonnable, et les pauses y ont certainement aussi contribué.

A l'appui de ce que dit "Dédé", et ce que le camp "gourou" a, à juste titre, déclaré, je n'aurai jamais assez d'attention, de temps à consacrer à qui se démène pour que l'organisation, de quoi que ce soit, fasse l'objet d'une saine et juste reconnaissance de ceux qui en "profitent". Car, trop souvent, j'ai le sentiment que tout ce travail semble être dû à qui daigne s'inscrire au simple titre de participant. Non, assurément non, l'effort physique consenti par tous et chacun n'est pas ce à quoi on doit se limiter. C'est pour celà, bien avant que d'amuser la galerie, que j'essaie de chasser cette idée qui me semble habiter, tout particulièrement le monde cycliste. Ma première leçon d'Alsacien requiert de cet état d'esprit. Du reste, je suis stupéfait de voir combien nombreux sont les Alsaciens ne "jactant" ni "pipant" un mot de leur dialecte - pardon, je voulais dire langue.

Alors, et même s'il ne sera jamais assez de cadeaux et de remerciements pour qui ne compte pas son temps et sa peine, je renouvelle combien ils sont précieux, en la matière ; indispensable, plus exactement. Ce n'est pas de la pommade, pas davantage qu'une occasion de plus de ne pas la ... fermer. Et puis, si, comme moi, vous pensez qu'il y a deux heureux dans la remise d'un seul et même cadeau : le récipiendaire et celui qui en est à l'origine, pourquoi se priverait-on d'un plaisir partagé.

Je n'ai que peu d'écho de ce qui se pratique - ou non - dans les autres groupes. J'espère que personne ne ressent ce qui pourait passer pour de l'ingratitude. Car, vu le nombre d'organisations diverses et variées orchestrées au sein du CCK, ça risquerait, rapidement, de mettre à bas tout le travail de fond et l'esprit que j'apprécie dans ce club.

Je me fais encore le "messager" de Francine Michels, pour vous transmettre quelques-unes de ses photos prise le 3ème jour:

dernier petit déj' à l'hôtel:

l'enseigne de notre hôtel:

avant le départ en voitures pour Oberkirch, où aura lieu le départ réel (remarquez le super bonnet de Séverin):

en remontant la vallée vers Bad Peterstal:

après la pause-déjeuner à la Alexanderschanze:

végétation le long de la Schwarzwaldhochstrasse (les séquelles des récentes tempêtes sont encore visibles):

notre ami "Charlie":

Pipeau grimaçant dans l'effort:

Nath' "Momotte -idem - :

les Zimmerlin:

Gérard Dougoud:

intérieur d'une église baroque (dans quel patelin ?):

Awer jetzt langt's !