Vendredi et samedi offraient une ultime occasion de goûter - se régaler, oserai-je dire -, de l'oeuvre du Maître - Gustav.
Comme un homme politique - parmi les plus illustres -, et sans me sentir obligé à me dresser tout en haut d'une pyramide - si ce n'est celle des âges ! - pour contempler un spectacle pharaonique, je puis, cependant, affirmer : "J'y étais !" J'espère que ceci aura été un "bon aparté" !
Reste que le Mur du Son, autrichien pour l'occasion, ne craint pas la comparaison avec celui, sis à Berlin, en l'état.
Pour ceux qui auront, du fait de leur absence, fauté, j'espère, pour ceux qui en avaient la possibilité - un sur deux nous dit-on -, aujourd'hui, en "Fautant", ils auront fait acte de civisme. Et pour les plus crédules, je les enjoints à "(R)Allez en paix" ; ITE.