Tour d'Alsace (1ère).


Message

Gaillard D.
Visiteur


Date du message : samedi 30 juillet 2005 à 20h46



Comme annoncé à JMK, et bavard comme je le suis, je ne peux attendre demain pour vous livrer mes impressions, vu de l'intérieur de la course. Parce qu'à être "signaleur", inutile de préciser que l'on est tout, sauf au courant de son évolution.
Avec Roger, nous avons rejoint le Novotel, sur le coup de 10 heures, où Gaby CLEM, et son équipe nous accueillit. Les équipes sont de 7 ou 8, histoire d'embarquer dans un monospace. Une fois le breafing fait, chacun perçut son T shirt, badge, casquette, ainsi que le matériel spécifique, telle la chasuble et le panneau indicateur "stop & go" pour la circulation ; sans oublier une bouteille d'eau et un casse-croûte pour cycliste anémique.
11 heures : direction "Décathlon" pour un café-croissant, et un pré-positionnement de tout le "staff". On se séparera là avec Roger, pris dans une autre équipe.
Chaque chef d'équipe est responsable d'une portion de parcours, la mienne en avait deux, une à partir de Schweighouse, et une seconde finassant au carrefour des "trois maisons".
La mise en place, devant précéder la caravane publicitaire, eut lieu deux heures environ avant les coureurs.
Puis, une fois embarqués de nouveau, "rebelote" un peu plus loin, en ayant soin de prendre le bon raccourci.
Par contre, il a bien fallu attendre 30 minutes avant que le dernier coureur et la voiture-balai n'arrivent. Dommage, sans cela, on aurait pu assister à l'arrivée des ténors ; car, sans manière, il en figure bien.
Vers 18 h 30, "Jaja" a rejoint le car podium (celui de l'Armée de Terre") où il procéda à la remise des maillots.
Certains, à l'issue, regagnèrent le "Trèfle", pour un repas à la bonne franquette ; moi, j'ai opté pour le vert de ma Twingo.
Si Joël nous avait bien relaté les faiblesses du temps où il nous avait devancé dans la fonction de "signaleur", je dois bien reconnaître, qu'hormis le sandwisch, il n'y a vraiment pas matière à fuir ce genre d'épreuve.
Demain, il est même annoncé que plus de 100 bénévoles s'étaient inscrits pour remettre ça. Alors, pourquoi pas vous ?

Je m'étais proposé de lancer, sans attendre, le départ pour le Ballon d'Alsace ; on m'a dit d'attendre demain. Peut-être n'en serez vous pas aussitôt informé, car une troisième mi-temps nous est promise là haut.
Tant pis pour vous, je vous aurai prévenu.