Ca n'a rien à voir avec la trève moyen-orientale, seulement en relation avec le calme dans une météo hyper capricieuse.
Fallait oser s'élancer. Et, pour une fois, ça a parfaitement marché. Sauf qu'à l'endroit où Estelle a lancé la troisième punaise sur l'itinéraire conduisant vers le Territoire, les mêmes causes ont provoqué les mêmes effets : la première crevaison de l'année.
Eviedemment, Estelle était comme l'Arlésienne (on en parle sans jamais la voir !). Mais, à la différence de la fois passée, j'avais mon "baise-en-ville", ce qui m'a permis de refaire le plein d'air ; surtout que le vent a permis que l'affiche un bon 35/40.
Dommage ! parce qu'au ryhtme où j'étais parti, je me serais aventuré assez loin pour prendre une saucée du tonnerre de dieu.
En fait, ce qui m'aurait surtout plu, c'est que l'Arlésienne de l'histoire se voit arrosée copieusement (ne cherchez pas de jeu de mot là où il pourrait s'en cacher un !)
Enfin, tout le monde a été content, sur ce coup, jusqu'au thermomètre de l'agence de Modenheim, lequel affichait un 14° un rien déjanté.
"Faut pas pousser la mémé dans le thalweg" dit le "pied noir" ! Mais lui, c'est connu, il a un petit vélo dans le ciboulot ; pas de la ciboulette.
Ca suffit, vous me faites à grosses gouttes.