Nous étions donc les trois partants prévus: René "le Sculpteur", André alias "Pipeau au dépar du club. André-Patrick nous a rejoint à Richwiller.
Le parcours s'est construit au fur et à mesure au gré des propositions des participants. Pas de problème pour un groupe de trois:
KINGERSHEIM / RICHWILLER / WITTELSHEIM / PC de la Thur / CERNAY / VIEUX-THANN / THANN / LEIMBACH / ASPACH-HAUT / ASPACH-BAS / PONT D'ASPACH / BURNAUPT-HAUT / BURNAUPT-BAS / BERWNILLER / SPECHBACH-HAUT / SPECHBACH-BAS / PC du Canal du R.R. / MULHOUSE / MODENHEIM / ILLZACH / KINGERSHEIM
parcours illustré:

Au départ nous avions pensé rallonger quelque peu la sortie, mais la météo nous en a finalement dissuadé. Durant quasiment toute la sortie nous avons essuyé des averses sporadiques mais rien de vraiment sérieux. Nous avons du nous réfugier plusieurs fois sous les premiers ponts venus, (ou sous un abri-bus comme à Burnaupt-le-Bas) quand cela devenait pénible.
Sinon pas d'incident à signaler, André-Patrick nous a quitté à Spechbach pour rentrer chez lui à Heimsbrunn, René et moi-même rentrant par la piste du canal du RR, puis Modenheim, Illzach et Kingersheim-Maison.
Quelques chiffres:
Kilométrage (pour René et moi-même): 68 km
Moyenne: 23 km/h
Dénivelée: 280 m
températures de 14° à 28°
fort vent de Sud-Ouest
Et des "images en couleur":
mes deux co-équipiers à la sortie de Wittelsheim:

André-Patrick sur la PC:

le Parc des cigognes à Cernay:

André-Patrick au sommet de la bosse entre Thann et Leimbach:

Pipeau et le Sculpteur entre Leimbach et Aspach-le-Haut:

le Sculpteur et André-Patrick:

Quelques instants de répit sous un abri-bus à Burnaupt-le-Bas en attendant que l'averse en cours ne se calme:

René sur la piste cyclable du canal du Rhône-au-Rhin:

au bord du Canal:

à hauteur de Zillisheim:

Re-selfie:

Noch ebbis: ech wél' hoffa dass m'r andlig Verstärkunga (renforts) en da nachschta Zita en unserm Grupp bekumma. Dàs gat m'r werklig Fraid màcha !
Sunscht esch nix bsundersch z'malda. Sinon rien de particulier à signaler.
Nota: Pardon d'avoir utilisé (si peu) ma langue maternelle (et grand-maternelle)
Sàlü binànder !