sortie 75 km mardi 19 juillet 14H.00 ?

Les bulletins météo se suivent et ne se ressemblent pas... même si la dominante générale pour cette semaine reste le gris. Les températures également sont en berne. C'est pourquoi je pense qu'une sortie sur la journée n'est pas envisageable.

La météo de demain est pessimiste... mais sais-t-on jamais ? En fonction de la situation on pourra faire le point en fin de matinée. Et si évolution favorable, se rejoindre à 14H.00 rue de l'Oranger pour un parcours à définir.

Sàlü binànder, bis morna !

pipeau a écrit :

La météo de demain est pessimiste... mais sais-t-on jamais ? En fonction de la situation on pourra faire le point en fin de matinée. Et si évolution favorable, se rejoindre à 14H.00 rue de l'Oranger pour un parcours à définir.

Salut Dédé, Je déciderais demain vers midi, et si la météo le permet, je serais au départ à 14h, mais selon les prévisions, je ne suis pas trop optimiste. Alors peut être à demain......

Sàlü binànder, bis morna !

Dans ton dialecte, j'y vois comme l'hésitation qui ferait, d'un phaëton présomptueux, celui ne sachant instiller auprès de son attelage qu'un "Hue" "Go" que "Les Châtiments" ont traduit par :
"Watterloo ! Waterloo ! Waterloo !, morne plaine !
"Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine
"Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons
"La pâle mort mêlait les sombres bataillons."

Bataillons qui me semblent fort clairsemés, réduits qu'ils se trouvent, à l'heure qu'il est, du seul Garibaldi digne de soutenir le troisième des Napoléon en mal de botte transalpine.

Mais, peu m'importe ! car, au dire de Pierre Daninos, "La vélocité de la parole va de pair avec la cylindrée du crâne." ... quand, rendu à une toute autre extrémité, de prétentions exagérées, ce sont les chevilles - ouvrières - qu'il convient de surveiller.

NB : C'est fou comme le nouvel avatar récemment adopté me va diablement bien ! Et puis "Lâchez-moi la grappe, S.V.P. ! Quelle idée vous "z'habite", sans autorisation préalable, à vouloir "Tirer le Diable par..." ce que les convenances interdisent de mettre en avant, pour un vouiii,n ou pour un nooon ?

Pas étonnant à ce que j'en rougît ; la pucelle du 15-2 en atteste.

Après moult relectures de cet exemple de prose gaillardesque je pense néanmoins, de son sens n'avoir approché qu'une infime partie. Espérer pouvoir en savourer toute la quintescence ne serait donc que fort présomptueux de ma part.

Mais est-ce bien là le but de notre chroniqueur ? Comme tout message codé (celui-ci en est forcément un), il n'y a que le destinataire réel qui puisse réellement le décrypter. Et ce n'est certainement pas votre serviteur. Je n'oublie pas que notre Gaillard-Diable rouge faisait partie de ce qu'il est convenu d'appeler "la grande muette". Etait-il réellement officier dans les transmissions comme il le prétend ? Ou émargeait-il à la DGSE (communément appelée "la piscine"), où les transmissions (cryptées) jouent aussi un rôle prépondérant ? Les deux ne sont pas forcément incompatibles mon général !

J'ai conscience de toucher là à un domaine plus que sensible... et prends donc un sacré risque en balancant ce genre d'infos (douteux ?) sur le média public qu'est le forum du CCK.

Mais j'assume... Vivons dangeureusement !

Salut à tous,
je vient de téléphoner à Pipeau, nous serons au départ club à 14h00
Nous avons décidé de rouler ce mardi plutôt que jeudi, l'étape du tour arrivant au Galibier ce jour là.
Le parcourt sera défini sur place suivant le temps qu'il fera à 14h00.
Avis aux amateurs, et n'oubliez pas vos anoraks au cas ou ...............

Et toi Pipeau,.......n'oublie pas tes bidons.

Luigi a écrit :

Salut à tous,
je vient de téléphoner à Pipeau, nous serons au départ club à 14h00
Nous avons décidé de rouler ce mardi plutôt que jeudi, l'étape du tour arrivant au Galibier ce jour là.
Le parcourt sera défini sur place suivant le temps qu'il fera à 14h00.
Avis aux amateurs, et n'oubliez pas vos anoraks au cas ou ...............

Et toi Pipeau,.......n'oublie pas tes bidons.

Je viens aussi!

Mieux, pour vous, aurait été que vous fussiez plutôt du matin... que de l'après-midi. Parce que ce matin, à côtoyer un couple parti des Deux Sèvres pour l'Eurovélo, direction l'Europe centrale, je faisais figure d'amateur. Mais, je peux vous donner un conseil météorologique, ce matin, la route était sèche, et le plaisir de tourner les jambes, même si je suis toujours "En rodage", était égal à chacun des jours qu'il m'est donné de prendre mon bol d'air quotidien.
Alors, c'est bien à l'abri, et au sec, que je peux donner du poids aux assertions de "Pipeau", qu'il s'agisse de "grande muette", autant que de ce haut lieu qu'est la "piscine" du quartier Mortier. Assez surprenant a été ce parcours professionnel qui butera devant la DGSE, pour cause de fréquentation sentimentale non appréciée dans les couloirs feutrés de ce haut lieu de l'écoute. Alors, faute de guerre électronique, j'en arriverai, in fine, à oeuvrer sous ce "Chiffre", dont l'enseigne est le Sphinx.
Fermer sa gueule - le terme "de gueule" rappelle la hiéraldique -, pour garder secret ce qui doit le demeurer, va de soi et peut surprendre qui apparaît, en moult occasions, bien disert. Mais c'est ignorer ce qu'il en est du besoin d'en connaître, le seul justifiant qu'on ait à connaître des choses, à d'autres, devant rester tues.

Quant à vous, "pecato", je vous imagine, déjà, de "fer", trempés. Il paraît que ça finit par "forger" un caractère de vainqueur. Et puis, "La rue appartient-elle pas à celui qui y descend ?"

L'ami Gaillard... pardon, Diable rouge, a eu bien raison de rouler ce matin, même si c'était à la fraîche ! Car Saint-Pierre ne nous a pas épargné cet après-midi, incontinent qu'il est du fait de son grand âge, il s'oublie un peu trop fréquemment ces temps-ci !

Nous étions malgré tout six au départ, persuadés d'arriver à passer entre les gouttes. JL Bannwarth, Luigi, Isembert, Blanche-Neige, Dédé de Lutterbach et bibi. Se posa la question du parcours. De sombres nuages s'accumulant sur les Vosges et le Sud-Ouest nous dissuadèrent de nous diriger vers le Col Amic, Hartmannswillerkopf, ce qui avait été mon idée première. Nous décidâmes de réduire nos prétentions et optèrent pour Osenbach et le Bannstein. Sitôt dit, sitôt fait, direction Rouffach.

Mais arrivés à la hauteur de Rouffach les nuages se firent de plus en plus menaçants et les gouttes se mirent à tomber. Nous changeâmes de cap et rentrâmes par la plaine, Meyenheim, Oberhergheim, Hirtzfelden, Munchhouse, et la Hardt, sous une pluie fine, mais persistante.

En résumé, sortie de 61 km pour moi, 130 m de dénivelée et 26,7 km/h de moyenne (selon compteur à Bibi). Fort vent de S/O. Températures entre 16° et 20°.

Quelques illustrations de cette sortie:

Isembert en tête à Pulversheim:

entre Feldkirch et Raedersheim, Dédé de Lutterbach et Isembert:

Luigi et Jean-Louis:

à Gundolsheim:

Blanche-Neige et JLB:

à Baldersheim:

Dédé, Isembert et Luigi:

Blanche-Neige, Jean-Louis et Luigi:

En somme une sortie qui ne restera pas vraiment dans les annales.

"Nous changeâmes de cap"

Si je ne m'a-bu-se pas trop, c'était pas le Cap de Bonne Espérance ! Encore qu'à ouvrir la boîte de Pandore, une fois tous les maux envolés, demeure toujours cette disposition d'esprit.

Je rappelle, au besoin, que le dit Pandore - qui signifie en Grec : don de tout - est né de la colère de Zeus, lequel se vengea en faisant fabriquer par Héphaïstos (Vulcain) une merveilleuse poupée qui n'avait qu'un seul défaut, celui de la curiosité.
La suite au prochain numéro, trop curieux que vous êtes !

Mais, demain, qui sait si le Tour ne va pas rencontrer... la neige ? Les paris sont ouverts, à défaut d'être tous blancs.