Séjour Rimini - 6ème jour - vendredi 25 mai

Pour le dernier jour de ce séjour, Antoine a voulu emmener le 2ème groupe vers le sud-est, direction Pesaro et retour par la route de corniche jusqu'à Cattolica et retour. Distance prévue: 75 km environ. Deux crevaisons, la 1ère de Philippe Nomé, et surtout la 2ème, multiple, de Cyrielle nous retardèrent au point que nous jugâmes plus sage de raccourcir à mi-distance en ne faisant qu'un bout de cette route touristique surplombant par endroits la mer Adriatique de plus de 170 m. Distance effective 57 km. Pourcentage moyen 4%, maximum 15%. Dénivelée totale: 480 m.

Il est à noter que le nombre de crevaisons fut assez important durant toute cette semaine. Certains ont mis en cause les routes italiennes... mais ce sont bien sûr de mauvaises langues !

Quelques photos de cette journée qui fut la plus chaude de la semaine (37° maxi):

photo de famille au départ regroupant les CCKistes, notre guide Giorgio, et le groupe de cyclos vosgiens:

départ du Groupe 1, avec notre Gino, Daniel le Biterrois et Giorgio:

Jean-Paul et Claude:

Revenons à notre groupe, pause dans l'attente de Philippe, qui avait crevé à l'arrière:

sur la route de Pesaro:

Anhtoine en tête, vers Gradara:

Gradara:

Colombarone:

2ème pause à l'occasion de la crevaison de Cyrielle:

repérage du trajet de rechange, sauf que le doigt de Jasmine posé sur la carte, indique un passage par l'Adriatique (à faire en pédalo ?):

Fiorenzuola di Focara:

sur la route de corniche:

point de vue sur la mer adriatique:

vers Gabicce Monte:

pause à Gabicce-Monte, avant de redescendre sur Cattolica:

en arrière-plan du groupe, vue plongeante sur la baie de Cattolica:

groupir... (j'ai eu du mal à les faire obéir

Voilà c'est tout ! Début de semaine mouvementée: la première nuit (secoués comme une bouteille d'Orangina (pub gratuite) lors du tremblement de terre, froid (relatif) et pluie, puis fin de semaine radieuse. Finalement, de quoi regretter de n'avoir pas pu prolonger le séjour.

"Il est à noter que le nombre de crevaisons fut assez important durant toute cette semaine. Certains ont mis en cause les routes italiennes... mais ce sont bien sûr de mauvaises langues !"
En fait, me fait observer - à juste titre - Il , c'est un problème récurrent - de "piano-piano". Car c'est toujours en absence de "Rustine" que l'embarras... de Paris se fait le plus assassin.

PS : les plus incrédules n'ont qu'à se reporter au "Panache blanc" porté par le bon Roy Henri jusqu'à "rouler carrosse" il croisa un certain Ravaillac ; une "rave party" qui, mal embouteillée, tourna mal.