Technique et Diététique - Répondre à un sujet


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Historique de la discussion

Message

Stéphane Toupenet
Membre

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Date du message : mardi 16 novembre 2010 à 14h15


Pour rebondir sur le sujet déjantage, je suis en train de me faire monter une paire de roue artisanale.
Une roue Tubeless avec tous les avantages.
Avantages du boyau mais sans ses contraintes.

Dès que je les ai, je vous en parle.

S'accrocher, toujours s'accrocher. Finalement nous ne savons pas ce qu'est souffrir.

Message

gromousse
Membre

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Date du message : lundi 15 novembre 2010 à 14h25


j'avais bien lu ton post, mais franchement je n'avais aucune idée ! ça illustre quand même un avantage du boyau : sur une crevaison même très rapide (voir mon week end explosif), on ne déjante jamais en boyau... je m'en vais de ce pas ouvrir un post sur le boyo en question.

Message

Date du message : lundi 15 novembre 2010 à 09h37


Au final, c'est bien à une crevaison lente que c'était dû, car, le lendemain, mon pneu était à plat. Un minuscule silex s'y était fiché dans le sens de la bande de roulement, lequel, pris par la contrainte qui lui était imposée par le virage, est venu délester la chambre d'une partie de son air, laissant le mien, plutôt surpris. A l'avant, ça fait tout drôle, si vous avez la chance de ne pas déjanter ; à l'arrière, je me rappelle en avoir fait l'expérience dès le premier virage, côté Masseraux, une fois passé le Hundsrück, là, on a l'impression de zigzaguer d'avoir trop lever le coude ; mais, évidemment, beaucoup d'entre-nous ne peuvent pas savoir de quoi je parle !
Moralité :
suffisait de changer de chambre - et pas de "chambrer" l'assistance, inexistante, pour le coup, pour retrouver l'air que j'avais avant que ça ne m'arrive.

Message

Date du message : jeudi 11 novembre 2010 à 21h11


Quelqu'un peut-il m'expliquer par quelle opération du Saint-Esprit, et alors que je franchissais à vive allure le nouveau rond-point faisant place au passage-à-niveau de Brunstatt, j'ai laissé échapper au moins 2 à 3 kilos de pression, à l'avant, manquant de déjanter et chuter, irrémédiablement.
J'avoue que si je n'avais pas été vigilent, sur ce coup, j'en aurais été pour un bonne "pizza".
"Bizarre, bizarre !" aurait ajouté Louis Jouvet, parce qu'à avoir redonné quelques coups de pompes - dans la chambre, pas là où vous pensez -, après coup - coups de pompe - la roue ne présente aucun signe de crevaison, de quelque sorte que ce soit, même lente.
Mystère et boule de gomme ! N'empêche, j'aimerais bien comprendre afin de pouvoir faire fi de pareilles sensations.
A vot'bon coeur !