Point de vue sur le Grand Ballon


Message

Gaillard D.
Visiteur


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 09h40


Ceux qui connaissent : "Ouragan sur le Caine" du mec Kramer - rien avoir avec macramé, qu'on sait tissé de fils blancs -, d'après le roman de Herman Wouk, s'interrogeront sur le fait de savoir si le "Gaillard d'avant" - je mets des guillemets pour me protéger de la guillotine - n'était pas aussi le commandant du dragueur de mines au comportement inquiétant.
Mais à constater que nos sommets n'afficheront jamais la blancheur éclatante des neiges éternelles, je pense que le comportement de bien des locaux s'apparente à savonner la planche sur laquelle, bientôt, plus personne n'osera s'aventurer, assuré qu'il sera de ne pouvoir réussir son show, show-show.
La Nature - parce qu'elle est de sexe féminin, peut-être -, tout le monde l'aime, assurément ! Mais l'avenir, lui aussi, pour le rendre cet idéal vers lequel on aspire - rien ne vous oblige à aspirer celui de Madame ! -..., l'odeur du... bon air pur, ne faudrait-il pas lui assurer un aménagement qui ne se réduise pas en un déménagement programmé pour tout de suite ?
Parce qu'à trouver que 6 000 €uros, pour la passe, deux communes voient les activités du domaine interrompues, comme un coït de coyotte, avec l'apparente démission de qui avait osé monter avec dame du lupanar, y déposer ses... "lattes".
Alors, pour la redescente, si ce n'est pas celle qui conduit aux Enfers, c'est bien s'enferrer dans ce comportement qu'aucun radar ne bornera jamais, de quoi, aussi, s'en faire pour ce développement que chacun voudrait durable. Et à moi qui n'ai pas accompagné le couple, ça me fout bien un peu "les boules "!
Mais, comme on a si bien su le dire quand le mauvais sang se voulait, en plus, contaminé : "Ni pute, ni soumise" - excusez-moi, j'ai pris la mauvaise cassette, celle de l'Ile étré au trésor ", "Responsable mais pas coupable".
Le coupable, dans l'histoire, j'en fais mon "Mea culpa" - c'est exceptionnel venant de moi -, je le suspecte terré non loin de là ; mais la coupe - du monde - de slalom - me paraît bien trop pleine pour que je puisse continuer ainsi, longtemps, à la fermer - vous savez bien qu'on dit passer les "portes", ma gueule !
Alors, pourquoi pas une seconde pétition ? Une qui, après avoir réclamé avec insistance auprès du quidam moyen qu'il mette son grain de sel pour rendre le lieu aussi inhospitalier que la latérite du Sahel, demanderait que le Père Noël, dans nos petits souliers, vienne apporter quelques pelletées de neige fraîche.
Mais comment en pourrait-il être ainsi ? ce dernier étant annoncé bloqué dans le tunnel de Ste Marie - Kiry - aux Mines que nous faisons.
Alsace, salace, ton TAM (Théatre alsacien) est un tam-tam à la peau tendue comme celle d'un con... ce type est. et, à force d'avoir chanté sur les toits : "Vous n'aures pas l'Alsace et la Lorraine" vous resterez, sans doute, seuls sur le trône. Mais pour vous voir assimilé au roi de quoi, sinon celui des cons ?

Message

Christine
The " King" du Forum !!!!!

Voir plus


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 11h36


Mais que se passe-t-il donc au Grand Ballon.

N'étant pas une locale j'ai dû encore manquer un épisode .....

Christine

Message

jeromevbck
Visiteur


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 13h52


c'est surtout qu'une fois de plus on ne comprend strictement rien à la prose de gaillard...

Message

Christine
The " King" du Forum !!!!!

Voir plus


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 14h07


Oui je sais il y a des fois ou c'est plus facile mais là je pensais que c'était moi qui était très fatiguée.

Ca me rassures de voir que je ne suis pas la seule à avoir du mal à déchiffrer.......

Quelqu'un peut-il nous expliquer le phénomène "Gaillard d'Avant" ca nous aiderait peut être à comprendre

Christine

Message

JMM
Visiteur


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 14h31


A mon avis, c'est quelqu'un qui n'aime pas être compris, donc il passe du temps à écrire pour rien ou uniquement pour lui-même.

Message

Gaillard D.
Visiteur


Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 14h58


Avec les trois exemples que vous constituez, voilà venue l'occasion qu'on s'interroge - vous et moi - sur qui répond, à l'envie : "Qu'est-ce que vous entendez par là ?" Parce que là n'est, en rien, un lieu, une localisation, seulement l'aveu qu'on n'a rien compris à ce qui, jusqu'à preuve du contraire, pourrait contenter quelqu'un de plus fûté, sinon plus averti qu'on ne l'est, soi-même.

Alors, pour faire court, ce qui m'est toujours difficile, la compréhension d'un fait, d'une situation, impose, au minimum, qu'on se donne le temps, sinon la peine, de se documenter, à défaut de réfléchir à ce qui n'est pas son point de vue, puisqu'on en est totalement dépourvu.

Ca ne veut pas dire, forcément que l'un a raison quand l'autre sera à côté de la plaque - la plaque, justement ! -, voire dans les choux.

Alors, comme dans "Le Laboureur et ses Enfants", et sans acrimonie, je vous dis : "Mes enfants, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins..."

Parce que je me refuse à faire mienne la répartie qu'on attribue à tord à Coluche et qui, en fait est d'Yvan Audouar(d/t) : "Je ne réponds pas aux cons... ça les instruits."
NB : Ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas instruire les cons, mais - ce que vous n'aviez peut-être pas jugé au second degré - qu'on eles instruisait, de ce fait, de leur propre connerie. Ce qui, on en conviendra, n'est paz piqué des hannetons.

Pour être au fait de ce qu'il en est avec le G.B., et sans vouloir me substituer à L'Alsace - le journal, s'entend !... le sable chaud -, à force d'avoir tergiversé sur les équipements indispensables pour le domaine skiable de la station, le dernier exploitant toujours forcé d'attendre les subsides de quelque communauté - Jo, pas la CAMSA, je tiens à le dire pour les autres - appelée en renfort, et bien, très prochainement, je suis prêt à en faire le pari, pour espérer manger vos trates aux myrtilles favorites, en plus de battre la campagne, à la recherche d'une crème fouettée, va falloir, en plus du gilet à 25 €uros, charrier vos propres baies.
Comme ça, tout le monde sera content, et on pourra entonner en choeur - le coeur sur la main - que la myrtille dépasse la réalité, que déssert sera le désert, and so on.
PS : Toutes explications faites à l'endroit de notre miss qui semble encore chercher à comprendre.
Envoyez la zizique ! Maestro, parce que trop c'est trop !

Message

Date du message : mercredi 5 novembre 2008 à 18h23


Oh Gaillard d'avant,

Daigne t'abaisser au niveau du commun des mortels pour que nous puissions apprécier ta prose humouristique.

Sans vouloir te paraphraser, il ne peut y avoir réflexion que si l'image est captée.

Amicalement

Message

Gaillard D.
Visiteur


Date du message : jeudi 6 novembre 2008 à 07h40


Jean-Marie (Quiquand),
ton prénom est aussi courant sur le plancher des vaches que tu voudrais, des sommets - mais de quels sommets s'agit-il ? - que je redescende parmi vous.
Dieu que ça fait drôle à entendre,comme Jeanne, des voix pareilles !
Et bien, à y réfléchir à deux fois, il n'en est pas question. Parce qu'en ruminant - c'est rapport aux vaches, pas à Christine -, je crois que j'ai en commun avec Lamoulinette - ici dénommé Saint Bridou - quelque chose que vous possédez et n'avez jamais cherché à valoriser. Un truc qui n'a aucune valeur marchande, qui n'est pas le "Pipi-caca" du nourrisson", mais qui nous voit évoluer dans un décor de rêve. C'est, tout simplement, le ressenti qu'on a en relation avec l'Art.
Imagine-toi devant son violon, interroge-toi sur ce à quoi ça sert, et tu seras dans la même postition que Goebbels, face à la Culture, dont il disait : "Quand j'entends le mot Culture, je sors ma mitraillette". Parce que lui, forcément pas parce qu'il veut te rabaisser au rang du "Pauvre con" sarkozien, il est capable d'un "tirer" autre chose que le "Casse-toi" qui a suivi l'altercation navrante.

Je m'étonne que Christine puisse nous rapprocher, car je n'ai pas le talent de notre Pascalou. Je le déplore pour la musique, mais, d'un autre côté, je ne pourrais pas me satisfaire du seul rôle de l'exécutant parfait qui est un but dont seuls les prétentieux joueurs d'instrument peuvent se croire capables.
Moi, je suis du genre créatif, et créatif je l'ai été jusque sous l'uniforme, par des mises en oeuvre, comportements dérangeants. Juste un petit exemple : qui donc vous dira que, dans le travail, il faut se presser sur l'accessoire pour consacrer tout le reste à l'essentiel ?
Moi, mon instrument, c'est ma propre langue, un truc qui a aussi l'importance qu'on imagine de ceux qui jouent d'un instrument à bec. Tu n'as qu'à imaginer ce qu'il adviendrait d'un hauboïste qui se ferait "casser les dents" !
Parce qu'à défaut de savoir rechercher le mot juste, c'est toute une partie de toi-même que tu ne peux pas faire partager avec qui tu échanges. Mais, c'est sûr, ça ne permet pas de finir plus riche à la fin du mois ; pas davantage que celui qui, faute de connaître la langue du pays dont il n'est qu'un touriste pressé, désigne l'objet qu'il convoite en le montrant seulement du doigt.

En matière de sentiments, d'amour, sans doute aussi, je pense que c'est un peu pareil, parce qu'avant de passer à l'acte, il faut être en mesure de séduire. Je l'ai traduit à ma manière ; une illustration sur laquelle je te demande de t'arrêter un moment. Je l'ai intitulée "L'amour Reggae" - pas Régal, mon Dieu non ! - (est gai, non plus)

"Je te trouve si ANTILLES... Y-en a MARTINIQUE ?"

C'est comme si le mec avait "déchargé" sa semence sans autre forme de procès (process aussi). Ce qui est le raccourci auquel s'oblige qui n'est pas capable de faire la "conversation", avec qui on ne peut que se contenter une "introduction" qui ne serait pas en mesure de se prolonger "raide", sans penser qu'elle puisse, en plus, être sujette à se "reproduire".

Sur ce petit aparté, je m'en retourne au bouquin que j'ai en cours. Le titre, faut pas rêver : "De la vie de Jésus... à celle que j'ai eue !

PS : Au détour d'un chemin, à défaut de rencontrer le Sphinx, j'aimerais recueillir les impressions "Bridoulesques", là-dessus ! Mais sûr que Christine m'en a bouché un coin.