Décidément, j'arrive pas bien à comprendre ce qui se passe dans la tronche des organisateurs, de tours comme de championnats. Côté dénivelé, bientôt ça ressemblera - le vélo en plus - à la grimpette des mâts de cocagne. Quant à nous tenir en haleine, à proposer des circuits et des distances fous, je vois pas bien de raison de rester au Garde-à-vous devant le petit écran pendant 6 heures, quand la course, elle, se joue dans les 5 dernières minutes.
Bon, cette fois, au moins, c'est pas comme au J.O., on avait laissé les pistards au vestiaire, et notre Alsacien - le monde s'approprie toujours, après coup, ceux qui, marins ou pas, ont levé l'ancre depuis des lustres -. une fois encore, a répondu présent.
PS : j'espère que jamais personne ne s'interrogera comment il fait pour faire tout ce qu'il fait.
Ça rappelle une chanson à bidasses : "La tacata.. tactique du gendarme...".
Pour le reste, y en a un qui, sans être gagnant, est toujours placé. Je l'ai suivi au Tour d'Espagne, c'est le gars Valverde ; un autre... Vinokourov, à bien des égards, même si je parie qu'au J.O. il s'est payé son titre, vu comment l'autre l'a laissé partir. Un scandale dont personne n'a jamais "moufté" mot.