Christine,
La vigne, c'est pour mieux nous soûler ? Le croissant, nous combler à penser à Lune sans oublier l'autre ? Le bassin ! ô surtout pas ça ! à frapper... les esprits au dessous de la ceinture ?
Mais, avec le vélo, la Petite Reine ! sans doute l'imagination est-elle toujours là pour tirer, de la vie, ce qu'elle est disposée à apporter à chacun, pourvu qu'il ne s'enferme pas dans ces a priori qui nous la rendent, sempiternellement, invivable.
Et puis, Le Tour terminé, place au vélo, si tu n'es plus en âge de nager ?
PS : entre l'étape de Colmar et celle du Mont Ventoux, je me suis "REGALé" de me savoir en pays conquis, reconnaître ces routes si familières. Mais je ne serais jamais allé jusqu'à imaginer que les spectateurs puissent former pareil écran en partie sommitale du Mont Chauve. Et ça aussi, c'est Géant !
Au final, toutes polémiques mises à part, je pense que le podium, et au-delà des trois premiers, reflète bien l'état de forme des coureurs, quand j'ai le sentiment que le responsable de l'épreuve n'affiche plus les mêmes objectifs du départ. Une impression de pression, comme pour le vin, dont il ne suffit pas de tâter la grappe, pour en exprimer la saveur ! Et ça, ça me gêne autrement. Mais peut-être suis-je aveuglé par ce soleil qui nous a fait tant défaut au mois de juillet ; encore qu'à Sharm El Sheikh on pouvait faire cuire des oeufs sur la chaussée.
Bonne continuation à toi, et récupération pour Michel.