"Les images de la suite de cette première sortie paraîtront dans le prochain numéro. Tout cela pour (essayer de) garder un peu de suspense !"
Abonnez-vous, via le câble, le satellite, voire tout autre moyen. Mais ne comptez pas, afin de pouvoir, un jour, vous croire "rat gaillardi", coller à mes basques ! Sous peine de "ratonnade".
PS : Quand "Pipeau" dit que nous étions 11 "roulants", il ne compte pas, naturellement, les tapis et autres volets, sans parler ceux équipant les maisons "closes". Quant aux 5 autres - ceux n'ayant pas les moyens de ceux réduits à (se) roules des "patins", rien ne les empêchaient de rouler les "mécaniques".
Un dernier point, je ne sais ce que peuvent bien révéler les clichés pris par nos amis photographes - "papas racits" avides de sensationnel -, mais je tiens à avertir les parents d'éloigner leurs enfants, ainsi que tous êtres "demeurés"... immatures, car je crains que leur hardiesse ne les ait conduits au-delà de ce que la bienséance autorise. Sans préciser que, si l'un d'entre-eux (c'est de clichés qu'il s'agit, pas de "demeurés") venait à tenter de m'égratigner, il se verrait, pour toujours, rayé de la liste des trop nombreux amis que j'ai pu rassembler autour de moi, avant de n'en conserver que la "substantifique moelle"... "turlute... tue tue !"
ça, c'est la vue, inversée : la seule qu'autorise "Patakess", à mon corps défendant.
Et, pour que les Alsaciens - les vrais de vrais - ne soient pas en reste, et sous réserve que : "da wo weiss, wàs d'Glock gschlàga het", je m'aventurerai jusqu'à ajouter : "sie heefa d'Glock litta, ohna z'wissa, wo sie hankt". Entre "cloches", qu'y -a-t'il d'anormal à se penser, un rien, "fêlé"
Inutile d'implorer, comme ça, le Seigneur !