Chaussures Trail à vendre

Vends SALOMON XA PRO 3D, pointure 41 1/3 (ça chausse GRAND les Salomon ), portée 3 fois, cause erreur taille ....
Valeur 120 €, proposées à 60 €

Là je suis déçu COACH.

Quelle erreur de débutant

Sinon elles sont pas mal, mais moi je fais du 46 alors peut être CHOKI pour accrocher au dessus de sa cheminée

Plus sérieusement tu les trouves comment car je cherche à acheter une paire pour passer sur des distances plus longues.
Et hier un vendeur me disait que mes MIZZUNO étaient plutôt typés compétitions et distances courtes.

Alors je sais pas trop TRABUC, RIOT, ou ces SALOMON

Bricolo a écrit :

Quelle erreur de débutant

Ben vouiiii .... d'habitude je mets du 41,5 ou du 42, suivant les marques ... C'est la première fois que j'essayais Salomon, et avec le 41 1/3 j'étais confiant. D'ailleurs je les ai testées sur le plat, et ça allait parfaitement .... mais bizarement en montée franche, elles me lachent aux talons

Bricolo a écrit :

Plus sérieusement tu les trouves comment car je cherche à acheter une paire pour passer sur des distances plus longues. Et hier un vendeur me disait que mes MIZZUNO étaient plutôt typés compétitions et distances courtes. Alors je sais pas trop TRABUC, RIOT, ou ces SALOMON

Pour les Salomon, je ne peux pas vraiment te donner d'avis objectif ... pas courru assez longtemps avec .... Mais, c'est des pompes qui ont bonnes réputation ...

J'ai une paire d'Adidas Riot qui ont deux ans. J'en suis trés content ... légère, dynamique, bonne accroche, amorti correct ... je les mets sur les parcours technique jusqu'à 40-50 bornes

Au delà je prends plutôt les Asics Trabucco ... certes un peu plus lourdes, mais super confort et trés bonne accroche également;

Si c'est long et que le parcours est roulant (genre Sainté), je prend les Nike Pégasus Trail

D'une manière générale, je fais plus confiance aux marques spécialisées "running" qu'aux marques typées "montagne" ... J'ai eu longtemps des Lafuma en pensant que c'était mieux pour la montagne : exact que la semelle Vibram est terrible, mais au niveau amorti c'est loin des Asics ou des Nike ... en plus, hormis la semelle indestructible, le reste est trés fragile !!!

Voila keske j'en pense

Comme toi, en montée le talon a un mauvais maintien
Je n'aime pas le grip non plus sur terrain gras

Je reste à mes Nike Pégasus trail et mes New Balance 876

Stef

Stéphane Toupenet a écrit :

Comme toi, en montée le talon a un mauvais maintien
Je n'aime pas le grip non plus sur terrain gras

Je reste à mes Nike Pégasus trail et mes New Balance 876

Stef

Ben ça alors .... un trailer inconnu sur le Forum

Super merci pour vos infos c'est toujours un plus d'avoir l'avis de personnes qu'on déjà courru avec et d'avoir leurs sensations.

GRAND MERCI A VOUS.

Petit trailer, je ne dépasse pas les 25 kilomètres.
Je fais du vélo depuis 1985, je ne me suis jamais blessé (entre 10 et 15 000 km/an)
alors j'ai bien trop peur de me blesser en CàP.

Je suis un trailer de fond, les copains disent que j'ai gardé la façon de courir sans me fatiguer comme j'ai appris à l'armée.

Je n'ai ni vitesse, ni technique de foulée. 38' au 10000 m sur piste (j'ai horreur de la piste)
J'habite à la campagne, ce n'est pas pour m'enfermer sur une piste.

Ma limite c'est la douleur. Le cœur et le souffle ne me manquent jamais.

A bientôt 43 ans, je ne cherche plus la performance.
Je ne suis en compétition contre personne.
Je suis en compétition contre moi même.

J'ai fait 20 ans de compétition sans interruption et il m'est arrivée de passer des mauvais weekend.
Mauvais weekend parce que je n'avais pas eu les résultats à la hauteur de mes entrainements.

Alors j'ai arrêté toutes formes de compétition, maintenant je participe pour le plaisir.
Plaisir que je ne trouvais plus les dernières années de compétition.

Si ça ne frise pas la sagesse, ça y ressemble ! C'est bien, une fois rassasié, d'en laisser aux autres, parce qu'il est illusoire de penser qu'on peut toujours rester aux avant-postes ; Poste aux Armées, si ça se trouve !

Stéphane Toupenet a écrit :

Petit trailer, je ne dépasse pas les 25 kilomètres.
Je fais du vélo depuis 1985, je ne me suis jamais blessé (entre 10 et 15 000 km/an)
alors j'ai bien trop peur de me blesser en CàP.

Je suis un trailer de fond, les copains disent que j'ai gardé la façon de courir sans me fatiguer comme j'ai appris à l'armée.

Je n'ai ni vitesse, ni technique de foulée. 38' au 10000 m sur piste (j'ai horreur de la piste)
J'habite à la campagne, ce n'est pas pour m'enfermer sur une piste.

Ma limite c'est la douleur. Le cœur et le souffle ne me manquent jamais.

A bientôt 43 ans, je ne cherche plus la performance.
Je ne suis en compétition contre personne.
Je suis en compétition contre moi même.

J'ai fait 20 ans de compétition sans interruption et il m'est arrivée de passer des mauvais weekend.
Mauvais weekend parce que je n'avais pas eu les résultats à la hauteur de mes entrainements.

Alors j'ai arrêté toutes formes de compétition, maintenant je participe pour le plaisir.
Plaisir que je ne trouvais plus les dernières années de compétition.

En trail, il n'y a pas vraiment de petit ou de grand ... c'est de la compéte certes, mais c'est surtout un état d'esprit On vient souvent d'horizons divers, la plupart n'ont jamais mis les pieds sur une piste

Audio-visuel
je m'occupais du cinéma et des photos de la 11ème division parachutiste à Tarbes et à Toulouse.
Je montais presque tous les jours dans un Atlas ou un Transal pour photographier les sauts en parachute. Une fois mon boulot fait, je sautais en dernier, mais du coup j'étais loin de la zone de rassemblement. Il fallait que je fasse vite pour rentrer.

C'est vrai que la mentalité de la course à pieds n'a rien à voir avec celle du vélo.
Bien plus zen les coureurs à pieds.

Quand un militaire, qui saute et court, rencontre un autre militaire qui plonge et faisait de la CO et des trekkings - on disait raids, alors ! - du type Francital, on en oublierait qu'il est question, au départ, de paires de pompes - pas kakis, on s'en doutera.

A lire toutes les expériences auxquelles vous semblez vous être essayés, sans doute, pour ne pas avoir côtoyé les base de Départ-Arrivée des Courses d'Orientation, que vous n'avez pas idée de ce à quoi on s'est essayés, nous-mêmes : les hommes qui ont de la "tête et des jambes". Mais, comme pour le vélo et le circuit auquel on va être assujettis, le matériel différait : de la paire de pointes, pour les longues distances débutant la saison, aux godasses spécifiques à crampons, de toutes sortes. Mais aussi, et surtout, les chaussettes, sans oublier ce qu'on appelait "pyjama", avec la texture serrée à l'excès permettant de s'affranchir du plus impénétrable roncier. Ces chaussettes - qu'on pourraient croire "Basques" ! - on la particularité de comporter, sur le devant du tibia, l'équivalent d'une rustine, pour une chambre à air. Ainsi, après l'orientation, c'est de la végétation qu'on se joue. Perso, reste que, pour les raids en autonomie complète - par deux, c'est le "pied" ! -, et sur deux jours, chargés comme des mules, je n'ai jamais trouvé mieux que l'"Elastoplast" pour tenir les chevilles, porter dix bons kilos dans son sac, et éviter la "plaie" : j'ai nommé les ampoules.

Je ne sais ce qu'il en est de la pratique de la CO au centre de la France, mais, pour nous qui résidons en Alsace, du CO Mulhouse à Buhl, sans oublier Colmar et la multitude de cartes existant, il est aisé de trouver "chaussure à son pied".

A vous de trouver le vôtre ! Le , après 25 années de pratique, a rendu l'âme ; sans s'inquiéter, outre mesure, si elle est encore en chamade - chaman, c'est une... autre paire de manches !