BRM 300 km CCK du 26 Mai 2018 " PHOTOS et CR"


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Bridoultra
hihihi....Stop....hihihi

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Date du message : dimanche 27 mai 2018 à 14h39


Voila cette journée BRM 300 km est maintenant terminée .....

Quelques IMAGES dans ce post .......

Merci à tous les participants ( 54 aventuriers ) de leurs de peur présence en Alsace....

SUPER MERCI à mon épouse Vanessa,Sylviane et Aurore qui avec Poucet ont été les artisans d' une vrai réussite de cette journée au CCK
par leurs efficacité et sourire quasi pendant 24 h non STOP ....

Un BRM 300 ,cela commence à 3h00 du matin et termine le lendemain à 01h15 du matin exactement....
Une journée CCK " non stop " ou chacun des organisateurs a son rôle, aussi bien en amont de l' aventure que le Jour J au club .........




Avec les 61 participants du BRM 200 le jour du Mardi 01 Mai, on peux dire que cette année avec POUCET, nos deux organisations BRM ont été une vrai grande réussite aussi bien sur la participation
importante que par le fait que, Suisses, Luxembourgeois, Allemand et Français ont été les artisans de ces journées vélo au CCK.

Aucune idée à ce jour ce ce qui se passera en 2019 sur ces organisations BRM que l' on porte avec Vanessa et Poucet depuis quelques années...On va réfléchir rapidement à la suite et les actions à entreprendre
dans un sens ou un autre sur l' avenir des BRM CCK pour l' année prochaine, car 2019 reste une année pas comme les autres avec le PBP , mais nous devons tenir compte à la fois, de nos énergies et timing personnel possibles à nous trois,
du calendrier des autres organisations BRM du même genre dans la région qui sont nombreuses aussi ( Belfort, Strasbourg, Vesoul en l' occurrence), de la politique du CCK , etc etc .

.Bon des discussions et décisions qui doivent être prises rapidement vu le fait que les validations officielles 2019 doivent paraître dans quelques mois avant la fin Novembre 2018 de mémoire, voir Octobre .. .. Je ne m' en rappelle plus bien à vrai dire, mais je vais vérifier tout çà au plus vite......

Donc il y a urgence vu le travail important que représente de telles organisations à mettre en place , a vite réfléchir sur nos actes et positions sur ces aventures vélo au sein du Club CCK et entre nous TROIS ...


Super Merci au président Christian et au responsable Jacky pour leur aide " Club House" sur ces aventures vélo...



En attendant, les nombreuses photos et compte rendus à la fois des participants, de nous mêmes d' ailleurs coté organisation , qui pourront être publier sous ce post BRM 300 justement etc etc.... voila les résultats officiels de cette journée 300 km d' hier...

Je rappelle que le délai officiel de ces BRM 300 km étaient de 20h........

53 cyclistes inscrits ........ 53 cyclistes partants...
50 cyclistes finishers ....... 3 cyclistes " hors parcours"

29 cyclistes sur le parcours 300 km MAX avec 5300 m dénivelé....
21 cyclistes sur le parcours 300 km LIGHT avec 2700 m dénivelé...

L' amplitude horaire réalisée par les participants cette année a été respectivement de 12h15 à 18h30 sur le BRM 300 MAX

L' amplitudes horaires réalisée par les participants cette année a été respectivement de 12h30 à 17h45 sur le BRM 300 LIGHT


Places maintenant aux images et comptes rendus....

BridoUltra 67

Message modifié le dimanche 27 mai 2018 à 18h31 par Bridoultra

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CARMELO
Visiteur


Date du message : dimanche 27 mai 2018 à 14h51


Bonjour à tous,
je tiens à remercier toute l'équipe d'organisation qui ont été au top hier pendant cette journée du brevet 300, pour ma part c'était mon premier 300 et ce fut une expérience unique, pédaler pendant plus de 12 heures ne m'aurait jamais traversé l'esprit sans la force de persuasion de mes amis de l'ASPTT Belfort que j'ai accompagné dans cette aventure.
Bravo à tous et peut être à plus tard sur une autre.. expérience !

Carmelo

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zuzu68
Apprenti animateur du forum

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Date du message : dimanche 27 mai 2018 à 20h46


salut
Après avoir fini dans de bonnes condtions le BRM 200 du début du mois, l'idée de mon 1er BRM 300 me trottait dans la tête. Cela me semblait être un défi avec des questions du type : cela sert à quoi de rester autant de temps sur une selle, que se passe t'il si tu roules 10 heures ou plus sous la pluie, etc ...
Et bien je me suis lancé dans l'aventure. Pour voir au moins une fois dans ma vie de cycliste ce que l'on ressent avec 300 kms. Une organisation locale avec la Bridou / Poucet Team et ses équipier(e)s dans laquelle il n'y a pas d'imprévu, cela rassure. Et si le CCK peut être représenté par des participants à une telle organisation, c'est un plus ( Hugues, Vanessa, Schwarzy, Christobike,) Et sur les premiers kms du 300 light Jacky Behe comme capitaine de route et en serre file un Poucet qui assure le retour à bon port de tous .

On a été gâté . Une météo parfaite, des parcours magnifiques sur des circuits presque sans voitures ni motos, un groupe homogène dans lequel on fait vite connaissance, des photographes à différents endroits du parcours ( pascal, Jacky et Aurore ) .
Mais surtout un état d'esprit très différent des cyclo sportives. Ici pas d'enchères de vélos ultra carboné et allégés à l'extrême, mais des vélos classiques équipés avec garde boue pour certains et méga sacoches. Les kg ne comptent plus, c'est dans la tête que tout va se passer...
On part avec un seul but, c'est de boucler le circuit . Sans être à la ramasse si possible, donc on s'économise intelligemment quand le profil de la route s'accentue. Ici pas de course au passage en tête en haut des bosses. Pour prouver quoi, et à qui ?
En discutant avec des habitués de BRM, on m'a confirmé que cette édition 300 était un "grand cru" et , dixit " ... un des plus jolis à inscrire dans les annales ... "
Quand j'ai vu le tableau du restaurant gastronomique au bord de la rivière qui affichait une souris d'agneau grillée, je me suis replongé dans ma sacoche de guidon pour chercher des figues séchées Surtout ne pas s'arrêter plus de 10 mn pour se ravitailler, car sinon le redémarrage devient un supplice. La gestion de l'alimentation et de l'hydratation devient un nouveau apprentissage. Les photos reportage, ce sera pour une autre fois.
Et quand on arrive dans les 80 derniers kms, on se dit que la partie est presque gagnée. Bon des crampes m'ont accompagné jusqu'au bout, et on apprend aussi à pédaler autrement.
Et l'arrivée au club avec une Vanessa et Sylviane ( sous la baguette du chef d'orchestre Bridou ) qui sont aux petits soins pour tous les finishers. Pour recharger les organismes, un repas mijoté copieux dans lequel les saveurs quotidiennes prennent un autre attrait.
Je suis sûr que la réussite de ces 2 BRM sera connue en France et à l'étranger dans le milieu des cyclistes randonneurs. Toute cette charge de travail pour l'équipe sera récompensée à sa juste valeur.
Merci à toute l'équipe.
zuzu

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erwin68
Membre

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Date du message : dimanche 27 mai 2018 à 22h48


Premier BRM 300 pour moi, déjà fait cette distance mais en solo sur une diagonale. Je n'ai pas une grande expérience en longue distance mais c'est mon troisième BRM et le deuxième BRM avec le Cyclo Club de Kingersheim (proche de Mulhouse) et l'organisation est au top.
Petit dèj avant le départ fixé à 5h30, parcours magnifiques avec le choix d'une option max (5200 D+, ce que j'ai choisi) ou light (2700 D+), départ régulé et accompagné pour les 20 premiers km, les organisateurs font des photos des participants sur le parcours et repas délicieux à l'arrivée. Ambiance très chaleureuse et accueil excellent. Le seul ennui c'est qu'avec une organisation comme celle-ci on prend goût au luxe...

Au départ le groupe de 25 environ est compact, ça roule tranquillement puisque l'allure est régulée par un capitaine de route et un serre file. C'est très appréciable pour la traversée de agglomération mulhousienne jusqu'à rejoindre la piste cyclable qui va jusqu'à Nantes, l'euro vélo 6. Mais on va bifurquer bien avant pour chercher un peu plus de relief.

Une fois le groupe livré à lui même les sportifs lâchent les chevaux et je ne les reverrai plus. Je me retrouve dans un groupe de 4 en queue, Bernard du RDS Strasbourg, Hugue du CCK et Philippe dont c'est le premier BRM et qui vient d'Ardèche. Cette ambiance de début de BRM me plaît beaucoup, on se retrouve avec des gens qui roulent plus ou moins au même rythme, on fait un bout de route ensemble ou presque la totalité du BRM, on s'attend ou pas, se retrouve ou pas, pas d'obligation.

On quitte donc l'eurovélo 6 qui longe le canal pour piquer plein sud vers Ferrette et rejoindre Delémont en suisse par les premiers contreforts du Jura.
Le groupe s'étire, puis je m'arrête grignoter un peu histoire de compléter le petit déjeuner qui est passé depuis 4 bonnes heures, ils me dépassent et je ne reverrai plus certains. Ce n'est pas grave, mon expérience de la diagonale fait que la perspective de rouler seul ne me dérange pas du tout, je préfère gérer la longueur que de faire un temps, ce dont je ne suis de toute façon pas capable.

Traversée de la frontière par de petites routes peu fréquentées avant d'attaquer un des 4 gros morceaux de la journée, le col de Weissenstein (1280 m) en Suisse. On monte doucement des gorges par une petite route, le parcours a vraiment été bien étudié. Je repasse devant le groupe, ils arrivent au col quand j'en repars. Je préfère descendre seul surtout que si en montant on avait des passages à 15 %, dans la descente vers Grenchen c'est du 22%; Vue sur les Alpes et les lacs (Bienne ?), superbe.

Après cette descente, on reste à flanc avec des petites montées pour s'approcher du Chasseral (1500m).
Avant cette montée, un groupe de 3 cyclos me rattrape, on restera ensemble quasiment jusqu'au bout. Pour cette montée je me sens en forme, il faut dire que je me suis inscrit sur ce BRM avec l'option "max de D+" pour le Chasseral. C'est un sommet que l'on voit depuis les hauteurs derrière chez moi et l'idée de le rallier à vélo me trotte dans la tête depuis un moment. Moment convivial au col, on prend le temps tous les 4 (Patrick de Bruxelles, Hugue du CCK et Patrick de Strasbourg) de manger et de se poser un peu. On est à mi parcours, il reste deux gros cols et il est 14h 15 environ. On sait qu'il y a encore 3 ou 4 participants derrière nous mais on ne les pas revu depuis le col de Weissenstein.

Belle descente vers Saint Imier qui est à 780 m pour remonter en face au mont Soleil à 1240 m sur 5 km. A propos de soleil c'est le tonnerre qu'on entend mais nous serons épargné. Par précaution j'avais pris la randonneuse avec les garde boue et l'éclairage, certainement le vélo le plus lourd des 50 participants.
La montée au mont Soleil a été dur, chaleur moite, pente raide mais ça passe. Ç'aura été pour moi la difficulté de la journée et je programme à ce moment là une pause à la prochaine terrasse de café ouverte.

Après le Mont Soleil, on prend la direction de Goumois. Je suis un peu en mode récupération et Patrick m'attend, les deux autres ont un peu d'avance. On va faire fausse route et retrouver Hugue et Patrick à Goumois. J'informe les autres que je m'arrête prendre un verre en terrasse, Patrick m'accompagne, on reverra les autres à l'arrivée.

Dernière difficulté annoncé de la journée, le col de la Croix au-dessus de Sainte Ursanne avec ses passage à 18% selon la carte Michelin, mais il est très bien passé.
Ensuite on file sur le profil descendant pour arriver à Mulhouse vers 23h.
Brm bouclé en 17h30, compte tenu du dénivelé et de mon état de fatigue je suis plutôt satisfait;

Je reviendrai sur les BRM et ceux du CKK plus particulièrement, à recommander vivement.

Bonne route à tous.

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philkikou
Membre

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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 06h26


00 Brief de bridou avec Poucet et d'autres membres du CCKQuelques photos du brevet 300 du CC Kingersheim en attendant un récit sur Kikourou. Merci à Poucet Bridou Vanessa et tous les autres bénévoles du CCK et à Brigitte pour le covoiturage et la découverte du monde des brevets

Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 06h28 par philkikou

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philkikou
Membre

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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 06h36


pas trouvé pour insérer plusieurs photos dans le même message, le reste des photos ici


ICI ICI ICI les images sur mon Face book personnel


Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 08h00 par Bridoultra

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Bridoultra
hihihi....Stop....hihihi

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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 07h58


Une magnifique vidéo réalisée sur le BRM 300 LIGHT par le participant de Befort, Carmelo Castano ..... Un groupe ou était d ailleurs Estelle et Zuzu ....

Merci Carmelo....Super SYMPA

ICI ICI ICI la vidéo.............


BridoUltra 67

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Bridoultra
hihihi....Stop....hihihi

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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 08h06


philkikou a écrit :

pas trouvé pour insérer plusieurs photos dans le même message, le reste des photos ici
ICI ICI ICI les images sur mon Face book personnel

Merci Philippe de ton sympathique cadeau du petit cycliste ............

Je n' avais pas fait le rapprochement entre ton nom sur le fichier des participants et Kikourou, le lieu magique des traileurs ....
Bravo pour ton BRM 300 MAX ... c ' était une belle aventure pour tous, cyclistes et organisateurs...

Je me suis permis de mettre le lien en marche , dans ton message si-dessus ....Merci pour tes images

BridoUltra 67

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POUCET
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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 12h16


Le Petit Poucet
mais rien ne sortait ....

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Brigitte
Visiteur


Date du message : lundi 28 mai 2018 à 12h27


Quel pied ce brevet ! c'était vraiment super ...
Je vous transmets mon récit de la journée
ICI !!!!!
Merci encore aux organisateurs pour cette belle journée !

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Little_Pascal
Visiteur


Date du message : lundi 28 mai 2018 à 18h24


On s'est pas moqué de nous de la distance du D+ du % et un bel accueil de la part du CCK, c'est le col de la croix que mes petites jambes ont préférées dans la série,
avec un moteur de 2 CV, ma seule ambition était d'essayer de passer toutes ces montées avec une vitesse a 2 chiffres, pas facile lorsqu'au départ je ne connaissais aucune de ces montées sympathiques qui demandent de solides qualités physiques et mentales... J'ai passé une superbe journée malgré la solitude sur 2/3 du parcours.

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Bridoultra
hihihi....Stop....hihihi

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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 22h17


Le récit de LIONEL PERRIN .............. 300 BRM MAX

Le CR de ma journée à retrouver ici :

ICI ICI ICI L' histoire

bonne lecture et encore merci à Pascal et sa bande !

BridoUltra 67

Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 22h18 par Bridoultra

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cestdurlevelo
Visiteur


Date du message : lundi 28 mai 2018 à 22h30


Et voilà ma petite contribution !

ICI ICI ICI L' histoire de Baptiste

Un grand merci à tous pour cette journée incroyable !

Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 22h49 par Bridoultra

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Bridoultra
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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 22h32


Le récit de CATHERINE WACHEL qui était la seule féminine présente sur le BRM 300 MAX ...
Elle était accompagné pour l' occasion sur cette aventure difficile par LAURENT BRUYNOOGHE ...

Tous les deux avaient décidés de faire ce défi ensemble....

BRM 300 DE KINGERSHEIM 2018
Lundi 28 mai, 7h30, même pas mal aux jambes !
Je n’aurais pas imaginé cela il y a quelques jours. J’ai beaucoup hésité pour m’inscrire à ce BRM 300 MAX. Ce n’est pas la distance qui me rebutait mais plutôt le dénivelé : 5300 D+ sur 300 kms ce n’est pas rien. Je grimpe des cols en été et je sais qu’à chaque instant mes jambes peuvent me lâcher, mon corps m’abandonner et mon moral suivre les deux premiers. J’ai hésité car je ne voulais pas non plus, être dans l’impossibilité de finir ce 300 et entrainer dans ma chute celle de mon coéquipier Laurent. Enfin, j’ai beaucoup hésité et puis lors de mes vacances en avril j’ai été monter quelques cols, 5000 D+ en une semaine, cela m’a redonné confiance en moi.
Et j’ai fini par m’inscrire à ce truc de dingue, début mai, Laurent m’ayant promis de rester avec moi tout au long de ce périple quoi qu’il advienne !
Deux entraînements avec Laurent et quelques jours plus tard, nous voici donc à Kingersheim, petite commune de la banlieue de Mulhouse, département du Haut Rhin (68). Nous sommes le 25 mai au soir, dans une pizzéria avec une quinzaine d’autres fous furieux. Certains ferons le 300 light (2800 D+ ) et d’autres le max (5300 D+). Je fais donc connaissance de Brigitte, Alice, Valex, Jacques, Baptiste et quelques autres. Nous avons bien mangé et bien ri mais à 22 heures il est temps d’aller se coucher.
Levés à 3h30 du matin, nous nous préparons pour rejoindre le local du CCK à quelques encablures de l’hôtel. Petit déjeuner à 4 heures que nous prenons dans la bonne humeur, assorti des blagues de Valex. 5H15, briefing et 5h25 départ du 300 max puis 5h30 départ du 300 light.
Le jour se lève doucement, une petite fraîcheur nous enveloppe, les 25 premiers kilomètres sont sous le contrôle d’un chef de route du club du CCK. Les premières pentes arrivent, je me fais décrocher, Laurent reste dans ma roue et nous continuons tranquillement. Nous passons en Suisse au kilomètre 51. Les routes sont désertes, il fait un peu plus chaud et l’effeuillage commence. Un premier petit col à Corcelles nous a mis en jambe. Puis arrive le col de Weissenstein, 1271 m d’altitude et surtout de gros pourcentages sur les quatre derniers kilomètres. Le soleil a déployé ses rayons. La grimpette est rude, le compteur affiche 3,7 k/h, il fait très chaud, une douleur m’irradie le bas du dos ; Je dois m’arrêter quelques instant pour prendre un anti douleur, mais au moment de repartir, impossible de me remettre en selle. La pente est trop raide, je n’arrive pas à prendre assez d’élan pour réenclencher les pédales. Après plusieurs tentatives, je fais quelques mètres à pied pour trouver un léger replat. J’arrive au sommet, où Laurent m’attend, complètement épuisée, ça commence bien, à peine 100 kilomètres et déjà cuite, je ne donne pas chère de ma peau !! La descente rayonne de passages à 20 %. Les mains sur les freins, nous descendons très prudemment.
Le parcours nous entraîne sur des routes peu fréquentées, vallonnées et très fleuries où des vaches et des chèvres lèvent indolemment les yeux sur les cyclistes. Les pentes du col du Chasseral, 1502m, se faufilent sous nos roues. Presque huit kilomètres de grimpée mais le pourcentage semble plus abordable. Le ciel s’est couvert, il fait plus frais, la montée se fera sans trop de difficulté.
La descente est sensationnelle, on se lâche un peu jusqu’à Saint Imier. On récupère pour mieux grimper la suite.


Le Mont Soleil, 1248 mètres d’altitude. De longues lignes droites à très fort pourcentages. Debout sur les pédales, je m’arque boute, le compteur n’affiche plus rien, pour lui je suis arrêtée !! Chaque coup de pédale est un effort surhumain et ça dure depuis quatre kilomètres. Je slalom dans la pente pour réduire le pourcentage mais c’est toujours aussi dure. Et puis je lève la tête, et là ….. Un mur !! Un mur dans un mur !!! je n’ai plus de force, je pose pied à terre et fini les derniers mètres en marchand, je crois que je vais plus vite d’ailleurs, que sur mon vélo !!

BridoUltra 67

Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 22h40 par Bridoultra

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Bridoultra
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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 22h35



Au sommet je m’allonge, Laurent est là, assis, un peu défait aussi, nous mangeons, nous buvons puis nous repartons. Ça descend jusqu’au prochain col. La chaleur nous oblige à nous arroser régulièrement et à remplir nos gourdes à chaque fontaine. Laurent, qui supporte encore moins bien que moi ces températures de trente–trois degrés s’allongerait bien dans ces grandes mangeoires de bois remplies d’eau ! Finalement ce sera bain de pieds et petite douche sur le visage.
Au fil des kilomètres, Laurent se sent mal, il n’arrive plus à manger, il ne fait que boire. On s’arrête à un petit café en Suisse, puis à la frontière Française à Goumois, ration de Coca à chaque fois. Nous grimpons un petit col puis de nouveau la plaine, le soleil qui tape.

Laurent stop d’un coup en pleine campagne et arrose allègrement la nature de jets surpuissants, il se vide littéralement puis s’assoit. Il est épuisé et à bout de force.
Là je me dis que c’est la fin de cette belle aventure. Il reste à peine 90 kilomètres mais je ne les ferais pas toute seule. Je lui propose que l’on appelle l’organisateur,Pascal Bride, pour qu’il vienne nous chercher. S’il arrête, j’arrête aussi !

Et puis j’ai une pensée super égoïste, je me dis que je suis m pour cette année 2018, je n’ai pas réussi la Flèche Vélocio et voilà que je vais abandonner aussi à ce 300 !
Laurent se relève et me dit que l’on va continuer, qu’il m’a embarqué dans ce défi et qu’on va le finir à deux. Et l’on repart, doucement. Il nous reste le col de la Croix à escalader, une rampe assez dure de quatre kilomètres, je doute qu’il puisse y arriver, il n’a plus de force…

.La fin de la journée approche, l’air se fait plus frais, le soleil descend derrière les dunes. Le col est raide mais on arrive au sommet, il est 21h25. Laurent est un surhomme !! Il m’a épaté ! Il mange un peu, il se refait une santé dans la descente. Le reste du parcours est assez facile, très roulant. Quelques petits coups de culs le décollent de ma roue, je l’attends et ça repart. Il reste 40 kilomètres à parcourir et on se dit que ce serait bien d’arriver avant minuit histoire d’avoir fait ce périple dans la journée de samedi. Il est 22h30 et on se met alors à rouler. Laurent embraye, il lui en reste sous la pédale finalement et nous arrivons au local à 23h59 chrono ! Cuits, défaits mais heureux !
Ce matin, lorsque je repense à ce BRM, je me dis que Laurent est vraiment « un ange gardien » et je me dis aussi que,« ce que femme veut, Dieu veut ! »

BridoUltra 67

Message modifié le lundi 28 mai 2018 à 22h42 par Bridoultra

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Bridoultra
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Date du message : lundi 28 mai 2018 à 22h43


Magnifique résumé de Catherine et Laurent .........un sacré DUO

Bravo à eux deux car ils sont allés tous les deux assez loin au bout d' eux même pour réussir leur défis du Jour.........

BridoUltra 67

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bernard
Visiteur


Date du message : lundi 28 mai 2018 à 23h26


Hello les CCKs

Après tant d'autres, je tiens aussi à remercier les organisateurs pour nous avoir concocté un tel parcours
Tous les ingrédients y étaient réunis, presque en excès, mais nous avons adoré
Surtout avec de très sympathiques compagnons de route, la journée semble moins longue, la bonne humeur toujours de mise, même dans les pentes les + raides
Et l'accueil des bénévoles au club-house est au top, on s'assied et elles s'occupent de vous comme si vous étiez dans un hôtel 5*
Merci pour vos belles photos, des vôtres et celles des autres participants
Au plaisir de se revoir

papy67 (Randonneurs de Strasbourg)

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Régis
Visiteur


Date du message : mardi 29 mai 2018 à 00h59


L'année dernière ma 93e sortie c'était le TriRhéna, et sans faire exprès je suis de nouveau au CCK pour ma 93e sortie 2018. Un programme costaud avec ce parcours de 300 km formule max, 4 ascensions redoutables et 5200m de D+ en grande partie dans le Jura Suisse.
Réveil comme pour une équipe du matin à 3H55, une courte nuit car je suis rentré du travail à 22H. Les affaires sont prêtes depuis la veille et le vélo déjà dans le coffre de la voiture. Juste le temps de boire un thé pour faire descendre mes compléments alimentaires et je file rue de l'oranger à Kingersheim. Du beau monde est déjà au petit déjeuner lorsque j'arrive, je salue rapidement quelques connaissances avant de retrouver Vanessa aux inscriptions et prendre mon carton de contrôle.

Il est trop tôt pour que je puisse me mettre quelque chose sous la dent et après avoir préparé mon vélo j'en profite pour papoter et faire la connaissance de Pierre Jean un copain strava.

Briefing de Pascal Bride aux environs de 5H00 pour donner quelques informations sur les parcours, points d'eau, principales difficultés et les consignes de sécurité car certaines descentes sont vertigineuses et affiches plus de 20%. Présentations des capitaines de route et des serres files, les départs seront à allure régulées sur les premiers kilomètres histoire d'assurer un échauffement dans la convivialité.
Départ à 5h25, Pascal m'a donné la mission de capitaine de route et je vais devoir guider les copains à travers tout Mulhouse.


J'ai bien révisé la veille en faisant les 10 premiers km avec le street view de google. Il n'y a pas beaucoup de circulation à cette heure matinale et nous évoluons sur la route plutôt que sur les étroites pistes cyclables. L'on m'informe que Michel manque à l'appel, Christophe qui a la mission de serre file se renseigne par téléphone ; Michel a pris le départ avec un peu de retard et va très vite nous rejoindre.
A la sortie de Wittersdorf, après avoir traversé la D419 chacun peut prendre son allure et la première difficulté nous emmènera sur Hirsingue. La fusée Christophe a mis le feu au premier étage et me rejoint à l'avant où je partage la compagnie de Dominique depuis le départ. Notre trio avait bien fonctionné lors des derniers kilomètres du BRM 200 et je crois qu'à ce moment on avait tous les 3 une petite envie d'en faire autant sur ce 300. Sur le long faux plat qui nous mène à Ferrette un joli petit groupe c'est formé, Patrick, Lionel, Jean Marie, Francis, Baptiste, Miguel, Jean Luc, Christophe, Dominique et Michel qui nous a très vite rattrapé, m'accompagne.
Les premiers contreforts du Jura sont avalés à bonne allure et juste après avoir franchi la frontière Suisse arrêt prostate avec Dominique et Christophe qui n'en finit plus de vider sa vessie. Les autres copains ont pris le large et sont 3 minutes devant nous. On repart tempo, sans se griller car la journée est encore longue. Un peu plus loin, km 57, à l'entrée d'Enderswiller Pascal et Aurore nous attendent pour le spot photo, un peu inquiets de ne pas nous avoir vus passer plus tôt.

Nous allons bientôt perdre Dominique dans la côte qui précède Movelier et il ne nous rattrapera pas dans la descente ni sur le faux plat qui mène à Delémont. Nous contournerons la ville par une sympathique piste cyclable que je ne connaissais pas et que Christophe n'avait pas trouvée lors de sa reconnaissance du parcours. Les copains ne sont pas loin devant mais nous attendrons de quitter la route principale pour revenir sur eux juste avant Vermes pour le premier contrôle photo. La route s'élève encore, nous quittons le canton du Jura pour celui de Berne en direction de celui de Soleure et la ville de Gänsbrunnen au pied du terrible col du Weissenstein dont la route sert de piste de luge en hiver. L'ascension est terrible, 5.8 km à 9.5% de moyenne. J'ai longtemps attendu avant de mettre le 28 dents mais le 5e km avec son passage à 16% a eu raison du dernier pignon de ma cassette. Seul Patrick a suivi le tempo de Christophe et nous arrivons quasiment ensemble au sommet du col, contrôle photo en mode selfie pour le trio.

Baptiste et Jean Luc ne sont pas loin et nous rejoigne rapidement au sommet ; ils ne feront par contre pas la descente avec nous.

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Régis
Visiteur


Date du message : mardi 29 mai 2018 à 01h03


Lors du briefing Pascal nous avait prévenus de la difficulté de cette ascension mais surtout mis en garde pour la descente, 14%, 16%, voire 20% à certains moments ! Il nous avait même confié vouloir nous faire monter par ce versant qui est l'ascension la plus raide de toute la Suisse !! Mes patins de freins n'ont pas du tout apprécié cette descente et le fort contact avec le carbone a même joué le rôle d'avertisseur sonore en fin de virage. Oberdorf marque la fin de cette descente et nous manquons la bifurcation avec l'élan des dernières pentes mais le GPS nous rappelle à l'ordre et nous corrigeons rapidement notre itinéraire. Les 40 kilomètres qui mènent au pied du Chasseral seront casse pattes mais offre un panorama sur les Alpes absolument somptueux. A la sortie de Grange la route s'élève et Christophe est vraiment facile, Patrick me prend quelques mètres puis je le laisse filer, je ne suis pas à l'aise sur ce tronçon et il va falloir bientôt trouver un point d'eau. Ce sera chose faite à Romont juste après être repassé dans le canton de Berne, je ne remplis qu'une seule gourde, l'autre est encore à moitié pleine et je n'ai pas envie de trimbaler trop de poids dans le Chasseral qui débute dans 15 km. Je retrouve Christophe et Patrick dans le village suivant, Vauffelin ; ils font également leur arrêt fontaine et ravito. Nous repartons tous trois et je finirais mon sandwich moricette/bacon couché sur mon guidon. A peine quelques kilomètres plus tard la route s'élève à nouveau et Christophe s'en va définitivement seul jusqu'à Kingersheim, la fusée est sur orbite et ralliera Kingersheim en 12H20 arrêt compris. Patrick m'a aussi pris quelques mètres et il m'attend en regardant dans le rétroviseur, il est pas mal pour son baptême 300 et je lui demande de ne pas regarder sur moi, je veux prendre mon rythme parce que je ne suis pas au mieux.
J'arrive seul sur Nods qui marque le début de l'ascension du col du Chasseral. Le parcours ne mène pas jusqu'à l'antenne aujourd'hui et tant mieux car j'en ai pleins les pattes et les pentes de cette ascension ne vont rien arranger. Heureusement la route est en forêt et permet d'être protéger du soleil qui a atteint son zénith. Je ne roule pas vite et ma consommation au 100 dépasse largement celui d'une voiture de course mais je sais que je pourrais ravitailler à St Imier qui se trouve de l'autre côté du col. Je ne fais pas de vieux os au sommet, contrôle photo devant le panneau du col, j'admire encore une dernière fois le panorama exceptionnel qu'offre ce point de vue et j'entame la descente qui m'offrira un peu d'air frais.

St Imier, je veux juste trouver une fontaine, un point d'eau je ne veux pas m'arrêter dans bar ou un restaurant, je suis ma route bêtement et je suis déjà sur les premières pentes du Mont Soleil, je ne veux pas faire demi-tour et je me dis qu'il y aura surement un point d'eau en bord de route et bien je peux rêver ! Je suis en train de savoir ce qu'est la chasse à la cannette, je sais qu'il y a un petit fond dans chacune de mes gourdes, je m'arrête, dévisse le bouchon et je fini une première gourde, puis la deuxième un peu plus tard et plus rien. La troisième ascension du jour est un véritable calvaire, je me suis mis sur le 28 et bien sûr ça n'avance pas vite. De nouveau des pourcentages dans lesquels je ne suis pas à l'aise mais je tiens bon tout à gauche mètres après mètres je finirais bien par arriver aux éoliennes. Je connais un peu ce coin là car le TriRhéna passait par ces routes mais en sens inverse. Je sais qu'à Saignelégier il y a une fontaine devant l'église et je n'ai plus que cela en tête. Au panneau Mont Soleil il y a encore un petit kilomètre avant de basculer dans la descente, la pente s'adoucie un peu mais il n'y a plus beaucoup de liquide de refroidissement dans le moteur ! Au loin le ciel s'assombri et j'entends le tonnerre, je ne dirai pas non à une petite pluie mais l'orage je préfère éviter. La courte descente me ramène dans le canton du Jura et je trace ma route sur le plateau qui mène à Saignelégier. Aux Breuleux je passe Patrick qui se fait une pause casse-croute royale devant la Coop, il est couché tranquille tout sourire je lui fais un petit coucou, dans 5 km c'est moi qui me fait ma pause royale. Il y a des fois comme ça dans la vie où l'on fait n'importe quoi, des conneries grosses comme l'Himalaya ! Pourquoi je ne m'arrête pas devant cette Coop pour partager ce moment avec Patrick qui m'a été sympathique depuis le début de la journée ? Le soleil avait dû taper dur sur la cafetière parce que je n'avais pas la lumière à tous les étages à ce moment. Lorsque j'arrive au point d'eau dont je rêve depuis 30 kilomètres pas de chance la fontaine n'est pas en service ; et je ne vais toujours pas dans ce bar qui est en face alors que j'ai des francs dans la poche.

Message

Régis
Visiteur


Date du message : mardi 29 mai 2018 à 01h08


Je continue ma route, j'entame la descente vers Goumois, un peu de fraîcheur, je distingue le fameux rocher en forme de tête de gorille dont Patrick m'a parlé plus tôt dans la journée. Fin de la descente, Goumois, droit devant moi une petite place, tout ce qu'il y a de plus beau, et une fontaine. J'y ferais ma plus longue pause de la journée, 9 minutes ! Je bois, remplis mes bidons, je mange mes morceaux de pâté en croûte et une petite barre en dessert. Jean Marie s'arrête à son tour pour remplir ses gourdes. Il a fait une erreur de parcours et à zappé le Chasseral il est un peu contrarié. La pause fait du bien, on parle un peu matos et surtout on regarde passer les copains qui étaient derrière et qui ont la frite, Michel, Jean Luc, Patrick, Francis, Baptiste. Du coup on ne va pas tarder à repartir. Après quelques mètres à peine, nous repassons en France un petit groupe se forme mais chacun prendra bien vite son propre rythme et nous roulons tous seul après le contrôle de Fessevillers au km 202.

La route qui mène à St Ursanne longe le Doubs en léger faux plat montant, les arbres nous protègent du soleil et l'air est un peu plus frais, c'est vraiment très agréable. Je commence doucement à me remettre de mon épisode sécheresse, heureusement car le col de la Croix pourrait bien se transformer en calvaire. Cette dernière difficulté de la journée est tout aussi terrible que les 3 autres mais elle a le mérite d'être courte. Heureusement car mes qualités de grimpeur m'ont totalement abandonnées aujourd'hui. Au sommet, dernier contrôle photo

je suis rejoint par Baptiste qui a aussi souffert dans cette ascension. Je le mets en garde sur la descente, elle n'est pas trop raide mais le revêtement est bof et il y a des cailloux au milieu de la chaussée. Il me rejoint peu après Alle et il nous reste quelques kilomètres à faire avant de revenir définitivement en France. Il me propose de rouler ensemble mais il est pris de crampes dès que la route d'élève. Pas grave je vais temporiser et l'attendre ce sera bien plus sympa.

Dans Pfetterhouse nous prenons la piste cyclable mais il faudra la quitter rapidement sur la gauche. Baptiste décide d'aller jusqu'au bout de la piste mais moi je veux suivre la trace ; nos routes se séparent à nouveau. Depuis le passage de la frontière j'essaye d'envoyer un live track à ma femme mais tous ces gadgets électroniques ne fonctionnent jamais quand on en a vraiment besoin ! Au bout de 9 tentatives j'abandonne, je lui écrirai un message à mon arrivée.

Je connais très bien le coin car on est sur mes routes d'entrainements. Je suis juste curieux de savoir par où Pascal a décidé de nous faire passer parce que l'on peut faire plat où bien bosselé jusqu'à Kingersheim avec le même nombre de kilomètres. Mon compteur n'a pas encore atteint le D+ annoncé et je me doute bien qu'il va falloir prendre quelques bosses. Rien de bien méchant d'autant plus que le vent est un peu favorable en cette fin d'après-midi. L'entrée de Spechbach est bloquée, c'est la fête de la rhubarbe avec en prime des épreuves de running. Je me fais ma petite déviation perso mais elle est à peine plus efficace que celle prévue par les organisateurs de la fête du village. Il reste maintenant 20 kilomètres jusqu'à l'arrivée mais j'ai envie d'une boisson pétillante fraîche. A Heimsbrunn je connais un petit troquet et je m'y arrêterai comme quelques concurrents du parcours light pour assouvir cette soif ! 66 cl de coca bien frais quasiment cul sec. Rentrer sur Kingersheim sera désormais une formalité.

Je boucle mon BRM en 13H20 avec seulement 42 minutes d'arrêts ce qui me satisfait, j'avais parlé de 13H à Jacky le matin mais compte tenu de tous les évènements prendre 20 minutes c'est correct. Le meilleur est à venir avec cet accueil royal de l'équipe du CCK. La photo d'arrivée avec Estelle qui a fait une performance remarquable sur le parcours light,

Sylviane tout sourire me sert ma première bière et après une bonne douche c'est Vanessa qui me sert un délicieux repas préparé maison.
Je discuterai encore un bon moment avec les copains qui sont déjà arrivés et ceux qui arrivent encore. Si vous ne savez pas comment passer une bonne journée, venez faire un BRM au CCK. Merci à tous.