Faut dire, qu'avec pareille rubrique, ça ne coutait rien de la sortir. De sortir de là, également. Alors, à se fixer, comme objectif, de boucler un nombre rond de kilomètres, sauf à ce que le conducteur soit "rond", lui-même, fallait bien être "bargeot", sans, toutefois jamais parvenir à la cheville de nos handballeurs, pour penser se la "couler" douce, cet après-midi.
Pourtant, aujourd'hui, c'est pas d'avoir eu cet appel - de détresse - émanant du bon Roger, le "baegster", lequel, entre le moment où il composa mon numéro, et celui où le 22 à Asnières lui répondrait, se voyait contraint d'annuler ce qu'il espérait possible encore quelques secondes auparavant : faire un petit brin de "Cosette", avec un "Quasi... modo" ne tournant plus bien rond. Enfin, à vouloir m'entêter à profiter de la fenêtre qui semblait s'ouvrir, je m'en filais par la Hardt, histoire de voir si le rond-point, dit du 
- en étant à l'origine - faisait son office... de tourisme, en même temps que de tour... niquet.
Chemin faisant, pas l'ombre d'un cyclo, même pas cyclo... moteur, sur mes traces, à nouveau, pas sages, sinon passage à niveau. Parce qu'à aller bon train, le risque est toujours qu'il s'en cache un autre, derrière celui qu'on avait entrevu. Surtout, pratiquement plus de "Rafale" - j'ai failli dire de "Mirage" - oubliant que, à l'instar du CCK, avec la SNCF, tout reste possible !
Le pied, ça s'appelle ! Et "respect" c'est le pied. Sauf sur le tard, où, j'ai frôlé le pied de nez, faute d'avoir "senti" le vent venir.
Au final, à imiter Hugo - pas le "Boss", celui qui "taille" des costards ! -, j'aurais pu laisser échapper un "Carramba", car "... le coup passa si près que le chapeau tomba, et que le cheval fit un écart en arrière." "Arrière manant !", car, maintenant fermes les rênes, j'arrivais à bon "Port... Saïd" pour assister au Déluge ; le terme étant nullement galvaudé, même pour qui se penserait Noé. - Noël, ça reste le 25 décembre, jusqu'à plus ample information.
Ce qui, au final, et avant que je m'en aille à l'UHA pour la réunion mensuelle de poésie "L'en-vers des mots", a permis, avant que je ne me fasse la belle, de vous la souhaiter... pareillement.
"Bise... Morgen", sur ARTE.