Ca ne sent pas bon les "fèces", Denis, quand les fesses de nos coco - pas les coco-fèces, lesquellese sont dese noix... de coco - ont bien eu à endurer la posture toujours égale qu'un tel exercice contraint.
Fallait le faire ! Moi, présent au début et à la fin, mais absent dans l'entre-deux, j'ai du mal à croire qu'on puisse tenir le coup, même si, à la longue, je me suis surpris à ne penser à rien de ce que pédaler demande. Alors, après quelques kilomètres, j'ai glissé à nos comparses qu'on était, déjà !, du côté de Fontainebleau. Quand, une fois terminé l'exploit, Brest ne serait toujours point en vue. Ca augure de ce qui attend qui s'aligne au départ d'un Paris-Brest-Paris.
Un grand merci à nos deux lascars. Grâce à eux, j'ai pris bien du plaisir à "rerouler" en petit comité, à l'écart des excès de zèle, ou autre, qui ne manquent jamais de me faire pousser la chansonnette. Et encore, une fois l'un et l'autre continuant leur travail d'Hercule - lui, pour avoir tué femme (Mégarée) et enfants, dans un moment de folie, en avait 12 à mener à terme - à la façon d'une poursuite olympique - grand format -, n'ai-je découvert qu'une fois ces 24 heures achevées, qu'on s'était bien partagés les rôles avec des équipiés venus en nombre.
Au final, le Radbrünnen serait-il ce théâtre où il fait bon brûler les planchees ?
PS : Pour Pascal : les sangliers domestiqués, l'Homo Erectus serait-il devenu bête, à son tour ? Me grattant sous les aisselles, un méchant rictus traversant ma gueule hirsute de métèque, si ce n'est pas le "Penseur" de Rodin, ça fleure bon le Zoo de Mulhouse à défaut de ressembler à la "Montagne des Singes.
NB : Ceci mis à part, faudrait voir à répondre aux désiderata du "Boss" afin qu'on soit au moins 4 pour la belote chez Hans Rudolph.